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Quentin Peeters
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2007
Un film ionnant, autant sur le fond que sur la forme.
Pour ce qui est du scénario, l’idée de la deconstruction de la figure d’idole et la recherche de reconnaissance forment une prémisse extrêmement intéressante. Le film arrive à bien rentrer dans la psyché de ses personnages et leurs dilemmes moraux, notamment au biais d’une voix off qui fonctionne étonnamment bien. A aucune moment celle ci a un aspect forcée ou vient briser l’immersion.
Le rythme lui, bien que lent…
Translated from by
1990
Film assez intéressant. L’atmosphère pesante mais plaisante qu’Adrian Lyne instaure dans son film à l’aide de ses intérieurs enfumés est parfaitement réussie. De la rame de métro jusqu’à la chambre d’appartement, tous ces décors ont une ambiance propres à eux mêmes.
L’imagerie retranscrit à la perfection les sensations qu’on ressent face à des œuvres comme celles de Francis Bacon, mêlant fascination profonde avec inquiétude grandissante.
On regrettera juste les 20 minutes d’images plus « dérangeantes » coupées du montage final. Avec celles-ci, le film aurait été davantage perturbant, venant renforcer le propos même du film.
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2007
Un film ionnant, autant sur le fond que sur la forme.
Pour ce qui est du scénario, l’idée de la deconstruction de la figure d’idole et la recherche de reconnaissance forment une prémisse extrêmement intéressante. Le film arrive à bien rentrer dans la psyché de ses personnages et leurs dilemmes moraux, notamment au biais d’une voix off qui fonctionne étonnamment bien. A aucune moment celle ci a un aspect forcée ou vient briser l’immersion.
Le rythme lui, bien que lent…
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1990
Film assez intéressant. L’atmosphère pesante mais plaisante qu’Adrian Lyne instaure dans son film à l’aide de ses intérieurs enfumés est parfaitement réussie. De la rame de métro jusqu’à la chambre d’appartement, tous ces décors ont une ambiance propres à eux mêmes.
L’imagerie retranscrit à la perfection les sensations qu’on ressent face à des œuvres comme celles de Francis Bacon, mêlant fascination profonde avec inquiétude grandissante.
On regrettera juste les 20 minutes d’images plus « dérangeantes » coupées du montage final. Avec celles-ci, le film aurait été davantage perturbant, venant renforcer le propos même du film.
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