enjoyer of movies with lesbians and fucked-up characters

l’échec et le pouvoir, le go et la conquête, l’intellectualisation de la violence faite sur la table à manger mais aussi dans la chambre comme dernière matriochka de la bâtisse familiale, l’invasion de l’intimité mais de l’extérieur aussi, toute humanité devenant violence (la chenille pendant la finale de foot) mais l’espoir, au final, qu’il y ait un monde en dehors de la chambre, de la maison.
« l’enfance c’est pas une condamnation à perpétuité, tu sais »