Un doc sans grande surprise, mais entendre les riffs de Page, la frappe de Bonham et la voix possédée de Plant résonner dans les enceintes du ciné, c’était ouf

Magnifique (le pull gris de László dans la scène de la cuisine dans la deuxième partie du film)
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Plus sérieusement. A travers le parcours d’un architecte juif hongrois immigré, Brady Corbet orchestre une fresque épique sur l’ambition et le sacrifice, tout en interrogeant la place de l'art dans une société obsédée par le pouvoir.
Le génie et le rêve se heurtent à la domination et la survie dans une œuvre vertigineuse qui, loin du rêve, dévoile l'Amérique comme un théâtre d’illusions où toute création à son prix.
Brody, Pearce et Jones sont exceptionnels.
Le format VistaVision est absolument sublime.
Todd Phillips n'a pas aimé que son premier film soit perçu comme un cri de ralliement pour incels. Avec Joker : Folie à Deux, il cherche délibérément à décevoir ses fans. Un concept audacieux qui aurait pu marcher, s’il n’avait pas oublié de faire un film intéressant au age.
Entre comédie musicale insipide et film de procès médiocre, Joker Folie à Deux se contente de danser sur place pendant la majeure partie de sa durée (trop longue). Phillips enchaine les…