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Assez précurseur dans sa façon de montrer notre rapport actuel à la technologie, avec certains dialogues sur l'IA qui auraient vraiment pu être écrit en 2025, Electric Dreams fonctionne assez bien comme une capsule temporelle sur les années 80 avec son déluge de musique et sa mise en scène très "early MTV" (Steve Barron, le réalisateur, a fait ses gammes dans le clip avec quelques monuments comme "Take on Me", "Money for nothing" etc.). Dommage que Lenny von Dohlen soit à ce point anti-charismatique et fade. Le même film avec un jeune Bruce Willis, par exemple, je lui mettais au moins une étoile de plus.
]]>Un rare cas de film qui parvient à être aussi over-the-top que léthargique (John Huston avait 80 ans et était déjà très malade). Autant un film de mafia qu'une parodie de film de mafia et autant une rom-com qu'une parodie de rom-com, le truc est un grand n'importe quoi de tonalités dissonantes, d'accents douteux et de jeux approximatifs. Un film très bizarre.
]]>Un documentaire assez classique dans sa forme, grand prix à Sundance en 1994, qui vaut surtout pour ses impressionnantes images d'archives et ses interviews d'anonymes, petites mains de l'histoire.
]]>Le jury cannois sait-il ce qu'est un scénario ? Parce que décerner un prix du scénario à ce film choral structuré comme une dissertation de collégien, je ne comprends pas. Je suis sûr qu'il doit exister des reportages de Zone Interdite sur le même sujet plus ionnant à suivre. Sinon, Elsa Houben est étonnante de charisme : je lui vois bien une grande et belle carrière.
]]>La mélancolie joyeuse qui faisait tout le charme du court-métrage césarisé laisse sa place, en ant au long, à un truc un peu sinistre plein de personnages figés et de situations jamais très inspirées, en particulier les morceaux musicaux assez inables.
]]>Du pur fétichisme 80s façon plateforme, tellement con qu'il en devient plutôt très drôle en le regardant comme une comédie (énorme fou-rire sur la révélation de l'identité tueur)
]]>Un efficace mélange d'horreur gothique, de thriller et de film noir avec notamment une des premières représentations par Hollywood de l'horreur des camps de concentration. Malgré tout, si le film démarre et se termine très fort, il y a quand même un gros ventre mou au milieu.
]]>Un pur produit de série B existentialiste typique des années 70 sur l'absurdité de la vie au temps du capitalisme vue à travers des combats de coqs.
]]>Comment faire naître un sentiment d'émerveillement et d'aventure quand les personnages ne cessent de répéter qu'ils veulent "partir à l'aventure", quand un film est à ce point conscient d'être une copie fade de films bien meilleurs ? La fainéantise du truc est hallucinante.
]]>Derrière ses faux airs de Heat façon série B, il y avait quelque chose d'assez vénère et hard boiled dans le premier volet des aventures de "Big Nick" (incarné par Gerard Butler). Là, ce deuxième volet que, je crois, personne n'avait demandé, semble vouloir prendre des airs d'Ocean's Eleven musclés et bien virils en transposant son action sur une Côte d'Azur sublimée comme s'il s'agissait d'une ville du Maghreb (le film est tourné à Tanger et on y entend le muezzin non stop). On era pour le réalisme ! En fait, c'est comme si Christian Gudegast avait pris une grosse confiance après le succès du premier volet et s'était vraiment pris pour Michael Mann, David Fincher ou Steven Soderbergh, en oubliant quasi-intégralement les scènes d'action et en étirant une intrigue totalement teubé sur 2h30 (!!!) avec des dialogues et des situations encore plus teubés.
]]>Suite spirituelle du plus célèbre Harlan County USA, ce documentaire sur le combat de travailleurs de l'usine qui produit le Spam pour leurs salaires et leurs conditions de vie est une charge contre le libéralisme américain qui fait froid dans le dos. Car même si, cette fois, personne ne se fait tirer dessus, la violence n'en est pas moins stupéfiante de la part des politiques et des industriels. Un film essentiel pour comprendre l'Amérique.
]]>Sorte de variation de High Noon dans des décors qui rappellent très fortement ceux de Alien, le film est vraiment très joli à voir et a très bien vieilli visuellement. Dommage que l'histoire se traîne, manque d'enjeux dramatiques forts et d'une tension digne de son glorieux modèle.
]]>Un film doux et joliment mélancolique sur le age des années qui souffre peut-être un peu trop de la proximité de son autrice-réalisatrice à son histoire : ce qui peut paraître romanesque dans la vie de ces parents ne l'est pas forcément pour tout le monde.
]]>Du sous-Tarantino irlandais parfois assez plaisant pour son rythme un peu morose mais cédant trop souvent au mélodrame.
]]>Un pur neo-noir existentialiste comme on les pratiquait entre la fin des années 80 et le milieu des années 90, quand les grandes métropoles des années 40 ont laissé leur place à l'écran aux petites communautés rurales pour raconter ces histoires de boxeur fuyant un é trouble, de femme fatale alcoolique et d'ex-flic corrompu. Mais celui-ci, comparé aux films des frères Coen (Blood Simple) ou de John Dahl (Red Rock West, Kill Me Again), surprend d'emblée pour son ton très mélancolique, mais aussi son rythme étrange tout en ellipses et en personnages toujours mystérieux. Un film plein d'audace mais difficile à appréhender.
]]>Le film est une usine à GIF, en grande partie grâce au sex-appeal hallucinant de Jennifer Connelly. Mais ça s'arrête à peu près là. John Hughes avait la réputation d'écrire ses scripts en seulement quelques heures. Force est de constater que sur ce film ça se voit. Le scénario est un des trucs les plus fainéants de l'histoire de la comédie US. Chaque idée est en fait une resucée d'un truc précédemment écrit par Hughes : le personnage de Frank Whaley est une mix de Duckie dans Pretty in Pink et de Ferris Bueller, celui de Jennifer Connelly de Claire de Breakfast Club et de Lisa de Weird Science tandis que le concept des deux voleurs stupides est directement récupéré de Home Alone. En fait, Career Opportunities pourrait presque er pour un remake "ado" (et pas du tout drôle) de Home Alone (les films sont sortis à quelques mois d'écart). Affligeant. (Mais bon, Jennifer Connelly en 1990-1991, c'était vraiment quelque chose)
]]>Un très grand numéro d'actrice de Susan Hayward dans le rôle d'une prostituée condamnée à mort pour un crime dont on sait dès le départ qu'elle ne l'a pas commis. En somme, le genre de films sur l'injustice (s'ouvrant sur un plaidoyer d'Albert Camus implorant de voir le film), sur le pouvoir des médias et, évidemment sur les ravages du patriarcat et du puritanisme, qui donne envie de tout détruire autour de soi.
]]>Toujours la même chiasse où on est supposé comprendre l'intense trauma de personnages à partir d'un épisode de série ou d'un film supposément vu il y a 5 ans. 🚮
]]>Le plus ambitieux de la trilogie avec un scénario plus étoffé et des scènes d'action toujours plus longues et spectaculaires, ce qui tend à renforcer encore plus le côté "camp" de l'affaire. D'autant qu'entre les jeux monolithiques tout en grave de Gérard Lanvin et Nicolas Duvauchelle, le film est toujours à deux doigts de frôler le ridicule. Mais redoutable efficacité.
]]>Je le dis d'emblée : Balle Perdue 2 est, selon moi, le plus grand film d'action français. Certes, l'exploit est assez limité compte tenu de la quasi-absence de concurrence sur le secteur mais ce que réalise ici Guillaume Pierret est d'une ampleur inédite. Le film est sec, brutal, dépouillé jusqu'à l'os pour ne garder que des scènes d'action toutes plus intenses les unes que les autres (le méchant à la Terminator, la scène du garage avec le témoin balloté comme un ballon façon Jackie Chan...). Extraordinaire.
]]>J'ai mis cinq ans à y aller. Pour dire vrai, je pensais que ce serait une sorte de clone de Taxi par voie de Fast & Furious. Et bien, j'avoue m'être trompé. L'ambition formelle est dingue (pour la ) et même les dialogues (la plaie de ce genre de films en ), dans un style assez dépouillé, sont pas mal. Premier film oblige, c'est loin d'être maîtrisé sur tous les points (la scène du commissariat est un peu trop en mode "baston/cascade pour les nuls" avec ses coups mal portés et ses gestes trop emphatiques) mais l'ensemble est un vrai bel effort, avec en point d'orgue, une course poursuite dans les rues de Sète assez insensée...
]]>Un des films noir les plus dépravés de l'âge d'or du genre (il a été interdit de diffusion dans de nombreux Etats à sa sortie). Du parvenu criminel à la "femme fatale" en ant par le détective, chaque personnage est une ordure et, pire encore, conscient de l'être. Chaque décision semble poussée par la malveillance, le nihilisme et le cynisme. Un film qui donne envie de prendre une douche.
]]>Pas le premier film de sous-marin mais probablement le plus influent, en particulier sur la vague de films des années 90 (USS Alabama en premier lieu), avec cette esthétique de la sueur et de la tension virile en milieu confiné. Efficace (malgré l'évident coup de vieux) si on aime jouer à touché-coulé
]]>Elizabeth Olsen et Alicia Vikander s'en donnent à coeur joie dans leurs rôles respectifs et (sûrement beaucoup trop) azimutés mais le film ne sait pas très bien ce qu'il est, étranglé entre ses envies divergentes de drame "apocalypto-bergmanien" sur la parentalité et de dystopie climatique.
]]>Un miracle. Du pur cinéma indépendant américain comme on en voit presque plus aujourd'hui. Ce film sur le pouvoir de la parole, par l'équipe du déjà génial Saint s en 2019, est un miracle, un bijou de tendresse oscillant constamment entre le rire et les larmes avec, en son centre, une famille rayonnante d'acteurs et d'actrices, à la ville comme à l'écran.
]]>De la belle mise en scène capable de rendre intense des scientifiques ant leur temps à décrypter des données sur des ordinateurs de la préhistoire. Dommage que le film, en plus d’avancer à un rythme d’escargot, soit, dans l’ensemble, assez mal joué et soit plombé par des dialogues un peu ineptes.
]]>Gerard Oury a tourné La Carapate entre Rabbi Jacob et Le Coup de Parapluie, à un moment où il est au top du top du game comique en . Pourtant, malgré ses 3 millions d'entrées, le film me semble aujourd'hui très méconnu, ne ant pas à la télé dans les 80s-90s, contrairement à l'ensemble de la filmo 70s d'Oury. J'avoue que j'ignorais jusqu'ici son existence. Le film est pourtant d'une efficacité comique redoutable, sur un concept qui rappelle les futurs films de Francis Veber (le maladroit forcé de s'associer à la brute sur les routes de ) mais en beaucoup plus politique, le maladroit étant ce que le Figaro appellerait aujourd'hui un "islamo-gauchiste woke" et la brute un "homme bien" (un fasciste).
]]>"Forget it and go home.
— That's how Fascism starts!"
Ken Loach en mode thriller conspirationniste avec l'Angleterre, traité en Etat fasciste, en ligne de mire. Terrifiant et en résonance avec l'actualité.
]]>Le début est prometteur comme peut l'être un thriller qui verrait se rencontrer sur les nationales de un camionneur sympa et une bande de gangsters sans foi ni loi. Puis, plus rien, Gilles Grangier ne semble, en fait, intéressé que par la bonhomie de Gabin et les traditions des "petites gens" d'une certaine vieille , avec, pour final, une sorte de grande victoire allégorique de la province contre Paris. C'est en voyant ce genre de films qu'on comprend pourquoi "la nouvelle vague" honnissait Gilles Grangier.
]]>Le geste est très beau (micro-budget, indépendance totale...) et souvent ionnant à suivre avec son intrigue de thriller conspirationniste teinté de néo-noir et de body-horror. Dommage que les références soient parfois assez (voire très) mal digérées (la séquence très "Cronenbergienne" entre Videodrome et Existenz, notamment).
]]>Vu en version longue.
C'est fou (et assez frustrant) de faire un film de presque 3h30 sur un homme pour, au final, ne rien en sortir. On a l'impression que tout ce que pense Ridley Scott de Napoleon se trouve dans le panneau final énumérant le nombre de morts lors de ses grandes batailles. Ce qui précède ces quelques secondes, même si assez divertissant, semble ne pas savoir quoi dire de l'homme, hormis que la moindre occasion est bonne pour lui de déclencher une guerre.
Il fallait oser dépenser 200 millions pour ça alors que Twitter/X existe...
]]>Allégorie politique déguisée en drame humain, loin, très loin de tout sentimentalisme (ce qui peut décontenancer, en particulier avec sa fin, très abrupt).
]]>Un "western" irlandais contemporain qui trouve, dans sa structure "à la Rashomon", à la fois sa plus grande originalité et sa plus grande faiblesse, refusant, à la moitié du film, de céder à une forme de facilité (un film de vengeance) mais aussi aux émotions de ses personnages. Le film, très prenant dans sa première partie, devient donc assez distant dans sa deuxième, jusqu'à un final assez décevant.
]]>L'idée et la mise en image sont absolument terrifiantes. Cette simple idée de se retrouver à la merci de quelqu'un mal attentionné parce qu'on a plus toutes ces capacités physiques a un côté si universel que l'horreur semble réelle (et, à différents niveaux, elle l'est probablement pour beaucoup de gens). Le film est juste beaucoup trop long pour ce qu'il est et finit par tourner en rond.
]]>Un des films-phare de la nouvelle vague anglaise qui emprunte alors autant à la nouvelle vague française qu'au néo-réalisme italien. Portrait d'une adolescente un peu gauche, laissée de côté par sa mère, le film est, à l'image de son héroïne (géniale Rita Tushingham), aussi léger, tendre et solaire que son contexte et son décor sont tristes et gris. D'une grande modernité contrairement au plus exubérant (et plus sexiste) Georgy Girl sorti cinq ans plus tard en plein Swinging London sur une autre adolescente cherchant sa voie dans un monde qui ne veut pas d'elle.
]]>Visuellement sublime, le film est malheureusement une resucée de plein de choses déjà vues ailleurs (en particulier The Thing de John Carpenter). Prévisible et sans âme.
]]>Chronique de policiers ordinaires exécutée sans aucun jugement. Le film souffre pas mal de son absence quasi-totale d'intrigue et de ses nombreuses ellipses qui empêchent un vrai attachement. Probablement une grosse influence sur beaucoup de séries télé policières des années 90-2000.
]]>Un peu refroidi par la morale libertarienne (en particulier dans le contexte actuel) mais les décors naturels de l'Oregon et la puissance hallucinante de certaines scènes (la scène finale, wow) rendent néanmoins l'ensemble plutôt divertissant.
]]>Une horreur sur-violente au premier degré qui n'a tellement rien à dire qu'elle enchaîne à un niveau presque caricatural les pires tropes de films d'action depuis 40 ans. Même les scènes d'action sont moches et à peine lisibles.
]]>L'équivalent jeune branché parisien des "Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu". Sous le prétexte typiquement français de la "blague raciste comme prérogative au 'vivre ensemble'" et du "c'est pas raciste car tout le monde prend des cartouches", le film est un déluge de vannes toutes plus racistes, sexistes, transphobes, homophobes, grossophobes etc. Jusqu'au dégoût.
(Pour l'anecdote, les seuls qui riaient dans la salle étaient les vieux)
]]>Un thriller d'espionnage "à l'ancienne" et très efficace comme on les faisait, dans les années 90, donc pas forcément très original (l'histoire avait déjà été adaptée en 1981) mais qui se distingue du lot commun par le casting de Rami Malek, qui brille par son étrangeté et est toujours parfait dans les rôles mi-vulnérable, mi-psychopathe.
]]>Du sous-James Gray (l'influence de Little Odessa est un peu envahissante) sur la Côte d'Azur qui souffre à la fois de ses choix de mise en scène osés mais assez douteux (tout est filmé au grand-angle) et de sa structure narrative sans point de vue conçue maladroitement pour aller chercher un twist final sans intérêt.
]]>Gordon Gekko doesn't like this.
]]>Gordon Gekko likes this.
]]>Au moment où tu te dis que les grands studios d'Hollywood ne seront plus jamais capables de produire de grands films originaux et populaires, voilà qu'un sort Sinners, un film qui parvient à mélanger drame historique, film musical et horreur sans jamais paraître hors-sujet. Si, à plusieurs endroits, j'avoue m'être dit que Baz Luhrmann ou Robert Rodriguez aurait fait mieux, le générique de fin arrivé, c'était déjà oublié, l'ensemble formant un vrai tout cohérent qui n'appartient qu'à son auteur. Très envie de le revoir.
]]>Le concept rappelle forcément la trilogie Before. La comparaison est inévitable. Avec une emphase sur l'architecture et l'urbanisme changeant (qui rappelle Columbus de l'Américain d'origine coréenne, Kogonada), on y retrouve la même langueur, en particulier celle de Before Sunset, et des thématiques proches sur le temps qui e, les regrets et la nature changeante des sentiments et du monde qui nous entoure. Néanmoins, ce que Richard Linklater réalisait sur trois films, Mimang le tente sur seulement 1h30, ce qui peut être un peu déstabilisant et frustrant.
]]>Sujet sulfureux et politique, structure elliptique, style documentaire mêlant fiction, actualité et même des interventions du réalisateur lui-même devant la caméra, L'affaire Mattei marque par sa grande modernité, même si le sujet reste très ancré dans les années 70.
]]>Pas très drôle mais sympathique pour son esprit très BD et sa photographie de l'esprit du temps, entre arrivée conjuguée de la culture hippie en et grande bétonisation de Paris au début des années 70 (La Défense, le Forum des Halles, le périphérique, les voies sur Berges...).
]]>A partir du moment où je n'arrive jamais à comprendre le personnage principal du film, je lâche. Là, jamais je suis parvenu à saisir qui était le personnage incarné par Bill Pullman. La volonté de faire une version Gen X de Sherlock Holmes est évidente mais à part ce postulat, cet "elevator pitch", je n'ai pas compris. D'un bout à l'autre, je n'arrêtais pas de me demander pourquoi il faisait les choses, qui il était, hormis un simple archetype au service d'un scénario.
]]>Cette histoire (vraie) d'employée de pressing partant à la recherche de la personne qui l'a arnaqué de ses économies auraient sûrement fait une grosse comédie populaire en ou une comédie social-feel good en Angleterre. En Corée, c'est un peu tout ça mais aussi un thriller bien vénère. Au milieu des gags et du discours social, on a donc droit à des scènes de torture mentales et physiques assez dures et un méchant vraiment terrifiant. Un mélange des tonalités, que seuls les Coréens arrivent à manier aussi bien, qui fonctionne ici à merveille.
]]>Une liste classée par ordre chronologique, en commençant par les plus anciennes pour finir avec les plus récentes.
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]]>Films avec moins de 25000 vues sur Letterboxd. Showdown Letterboxd ici. Dernière mise à jour : 8 mars 2025
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]]>J'inclus dans cette liste les films de production française, de réalisateur.trices français.es, en langue française (désolé Emilia Perez ou The Substance). C'était quand même une putain de grande année pour le cinéma français !
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]]>En 2024, j'ai vu 202 films du calendrier légal français (salles, VOD et SVOD). Ce sont mes 30 préférés, classés par ordre d'amour.
🟠 23 films sortis en salles
🟢 3 films sorts en VOD
🔵 4 films sortis en SVOD
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]]>SVOD ou VOD, ces films ne sont pas és par la case ciné pour leur première exclusivité française en 2024. En commentaires, la plateforme où les voir.
VOD
VOD
Disney+
Netflix
Canal+
Netflix
Netflix
Filmo
VOD
Netflix
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]]>Un top assez limité cette année, compte tenu que certaines des meilleures mini-séries de l'année (comme Sugar ou Mr & Mrs Smith), n'en sont finalement plus (à cause de leur succès)
]]>Cette liste, classée par ordre d'amour, inclut les films qui avaient (à peu près) plus de 10 ans au moment où je les ai vu pour la première fois.
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]]>Capra-esque : Movies about the decency of the common man and the way that man is able to change the world if he retains his faith.
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]]>...plus 70 more. View the full list on Letterboxd.
]]>...plus 11 more. View the full list on Letterboxd.
]]>...plus 22 more. View the full list on Letterboxd.
]]>Chapitre 1. L’impact de la crise de 1929 : déséquilibres économiques et sociaux
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Chapitre 2. Les régimes totalitaires (le national-socialisme allemand et la nuit de Cristal)
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Chapitre 2. Les régimes totalitaires (le fascime italien)
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Chapitre 2. Les régimes totalitaires (les interventions étrangères dans la guerre civile espagnole : géopolitique des totalitarismes)
Chapitre 2. Les régimes totalitaires (la Grande Terreur en URSS)
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]]>(2024 non inclus) Letterboxd Showdown
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]]>En 2022, j'ai vu 172 films du calendrier légal français (salles, VOD et SVOD). Ce sont mes 50 préférés, classés par ordre d'amour.
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]]>Note : cette liste concerne les films qui avaient plus de 10 ans au moment où je les ai vu pour la première fois
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]]>Liste basée sur le calendrier légal français des sorties (Ciné, SVOD, VOD). Le n°16 en mention spéciale.
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]]>SVOD ou VOD, ces films ne sont pas és par la case ciné pour leur première exclusivité en 2023. En commentaires, la plateforme où les voir.
En VOD
Sur Amazon Prime Video
Sur Disney +
Sur Disney +
Sur Netflix
Sur Netflix
Sur Amazon Prime Video
En VOD
En VOD
Sur Apple TV +
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]]>En 2023, j'ai vu 208 films du calendrier légal français (salles, VOD et SVOD). Ce sont mes 50 préférés, classés par ordre d'amour.
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]]>En se basant sur la date de Letterboxd et en remontant jusqu'aux années avec au moins 5 films vus.
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]]>Je pense pas que Die Hard soit le choix le plus "controversé" de cette liste
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