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j'ai préféré "I basilischi"

La scène sur l'histoire de la musique noire : frissons.

Sébastien, quand il parle de sa piece "je ne vois plus tout à fait clair/Claire"

dans quel pétrin c'est encore mis Richard Anconina

et en plus l'acteur s'appelle Guillaume des Fôrets

Watched on Sunday February 23, 2025.

y'avait pas besoin du cliffhanger ou des bombes pour qu'il soit interessant, simple imo

Watched on Thursday February 13, 2025.

Je me doutais que l'âme avait trébuché sur le corps

C'est la nuit qu'on réalise que le chemin est beau

De Chine,

Comme Akerman nous montrait dans son "d'Est" le trouble quasi fantomatique des pays de l'ex URSS aux sorties du communisme, Jia Zhangke nous livre le tableau d'une Chine en pleine mutation. Pays délaissant son modèle économique autour des usines d'état sous le Parti pour se structurer dans la modernité des années 2000.

Sa fresque oscille entre ages documentaires et éléments fictionnels où l'on ne sait plus ce qui se joue et ce qui témoigne du réel. Car dans le cinéma de Jia Zhangke, les deux sont liés. Volonté finale de placer son geste dans le naturalisme.
24 city est un réel hommage aux ouvriers en bleu de travail que le réalisateur dresse en témoins de l'Histoire.

Pendant que le plan de la destruction de l'usine 420 (tout un symbole) est couvert part le chant de l'Internationale, on se demande : détruire mais que reconstruire ?
C'est toute la question qui traverse la filmographie de Zhangke et que ce film, comme une pièce supplémentaire au puzzle général de son œuvre, vient compléter.

Beaucoup de choses à dire qui commenceront par : Zhao Tao

Franz Rogowski mv, qui débarque en mode Rennes 2 art du spectacle ♥️

Même si des fois la narration d'Herzog et l'utilisation de la musique aurait pu être modérées, les images suffisant...
J'ai pleuré sur les volcans.

Oncle Jakob

pour la scène finale et pour la bestie Raimu

C'est Madeleine l'ange gardien

Watched on Thursday December 19, 2024.

Kev Adams à mes yeux

Watched on Friday December 6, 2024.

L'undercut de Rihanna jpeux mourir

tout le monde chante, sauf la chanteuse. Sacrée Chantal

en vrai doc arte random, rien d'interessant dans la réal, c'est un peu con de noter ça.

Mais j'aime trop Alain

Le seul moment où j'ai esquissé un sourire est le seul moment où la salle n'a pas ri

(too crazy too)

Je ne suis qu'une fervente rice du silence de Benzema pendant l'hymne, et pourtant... Gance m'a fait aimé une scène avec la Marseillaise

j'aurai préféré qu'on en reste au cerf et à la biche

a way to carry a suitcase

Long, lourd, mais un peu fun.
Mid/10

cette ride à vélo sous les cerisiers en fleurs

Vous reprendrez bien une omelette aux (mort)illes ?

Nique tous les Emmanuel + régularisation de tous les sans papiers

vive la grêve cependant

un peu long le dernier clip de Laylow

This world is not enough

Perdant magnifique

Photographie auditive. Je n'ai jamais voyagé à à New-York et je ne voyagerai jamais dans les années 70, ça compense un peu des deux.

on dirait que les bulles de l'aquarium sortent de la pinte de bière

7 decennies après le grand "les statues meurent aussi" du duo Marker/Resnais, Mati Diop vient donner la parole aux statues pillées par les colons. Brillant.

Très important que le premier film post été dont on sort avec manteau soit une réussite. Merci Thierry

b aimé Lady Gaga dans son rôle trotskiste

À deux pas de chez toi, va donc voir tes voisins

L'icône Monique et Michel, qui, des loges, regardent le concert de Lavilliers qui dit "j'ai dis à Poutou que je reviendrai si il occupait l'usine (Ford)".

Ben gros naz

Pas de beauté sans grain

chômdu, boa et accent marseillais

Et dispo sur Arte (avec le sublime Marius & Jeanette)

i love crab legs

Watched on Friday May 31, 2024.

le sourire en coin de la daronne quand son gadjo lui annonce le plan pour se debarasser du body ✌

Haneke qui les choque tous comme d'hab (perf all time d'Isabelle)